I can’t help quoting this article from the Financial times, which was published in a copy of the daily magazine on June 5-6 2016.
Je ne peux pas m’empêcher de citer cet article du Financial times, qui fut publié dans une copie du quotidien du 5-6 juin 2016.
It deals with the fuelling amount of sovereign debts which has a negative yield, which means an interest rate or yield below zero. With negative yield, investors are paying to keep sovereign bond on their book every year instead of getting an investment return. And States are being paid to borrow money on financial markets. This is a new trend which has been fuelled by central banks quantitative easing recently. Normally quantitative easing is believed to force banks to make loans to the economy. Banks owns the right to deal (sell and buy) sovereign bonds, if the ECB or the FED are buying it, they get a lot of liquidity and are normally encouraged to make more loans, which has the indirect effect to boost consumption and investment, and eventually inflation.
Cet article traite de la quantité croissante des dettes souveraines donnant lieu à un taux d’intérêt négatif.
But, in my opinion, instead of fuelling consumption and investment to get growth and inflation, QE (Quantative Easing) has an effect on the yield of government bonds, and that’s all.
De mon point de vue, plutôt que de consolider et propulser l’investissement et la consommation afin d’obtenir de la croissance et de l’inflation, l’assouplissement quantitatif se réduit à un effet sur le taux d’intérêt des obligations d’Etat, et c’est tout.
According to the FT, negative-yielding government debt has risen above $10tn for the first time, enveloping an increasingly large part of financial markets.
D’après le FT, les obligations souveraines avec un taux d’intérêt négatif ont pour la première fois atteint un montant de 10 000 milliards de dollars américains, en enveloppant une part croissante des marchés financiers.
D’après une lecture récente du monde économie, il apparaît évident que le problème global rencontré dans le monde entier concerne en fait un manque d’investissement du fait d’une vision négative et pessimiste des perspectives de croissance, tant dans les pays riches que dans les pays en développement, et un excès d’épargne, de liquidité en circulation dans le marché financier. Bien entendu l’élargissement constant du bilan des banques centrales avec les programmes d’assouplissement quantitatif ajoute à ce problème. A cet effet, je vous invite à lire le dernier livre de Patrick Artus “la folie des banques centrales”.