Mon opinion très positive sur la traduction anglais vers français de ChatGPT pour mon article sur la série Mr Robot + DIGRESSION

J’ai lu le texte source en anglais que j’ai écrit moi-même et j’en ai lu la traduction automatique de ChatGPT.

C’est excellent ! Il me semble vaguement avoir vu 2 maladresses à corriger. C’est tellement peu sur un article de cette longueur.

Plus globalement, même s’il faut aussi mentionner que ce type de traduction est plus facile car anglais et français sont des langues très répandues, et présentes sur internet, je pense que l’apprentissage des langues pour la traduction va devenir futile et peu utile.

Pour l’interprétation, je ne sais pas. Je n’ai pas testé les dernières innovation mais cela me paraît plus difficile compte tenu des nombreux accents locaux qui existent. C’est aussi assez peu écologique et nécessite beaucoup d’électricité d’utiliser chatGPT.

J’ai récemment eu comme ami un américain qui avait un abonnement payant à chatGPT et qui sollicitait chatGPT 150 fois par jour pour tout et n’importe quoi. Est-il conscient de son empreinte écologique.

D’ailleurs pour vous faire sourire, et vous montrer que ce n’est pas toujours le plus rapide : j’ai à la maison d’énormes dictionnaires très réputés de traduction anglais français et lorsqu’on mon ami a décidé de recourir à ChatGPT pour une traduction, j’ai ouvert mon livre.
Et bien j’ai été plus rapide que lui pour trouver la réponse !! Une différence de quelques secondes mais quand même. Sachant qu’il me faut saisir le livre, parcourir les pages par ordre alphabétique et trouver le mot sur la page, je trouve que c’est pas mal de montrer que les vieilles méthodes sont parfois plus rapides.

Ici, je voudrais parler du papier et du stockage numérique : la papier, conservé dans un endroit sec a fait ses preuves à travers les siècles… Dans les toutes les meilleures bibliothèques, vous avez des ouvrages qui datent des débuts de l’imprimerie en 1500, voire avant lorsque c’est manuscrit. Donc le papier est toujours là 500, 600, 700 ans après.
Mais les technologies de stockage numérique reposent sur des systèmes de fichier, des équipements de lecture qui évoluent sans arrêt, sont susceptibles d’interférences électriques, magnétiques. Je ne dis pas que le numérique est moins fiable que le papier mais nous n’avons pas le recul pour démontrer sa fiabilité. Le papier peut aussi bruler, souffrir de l’humidité, les langages évoluent, encore faut-il savoir les lires après tant de temps… Toutes les méthodes sont bonnes et mauvaises. Chaque chose a ses avantages et ses inconvénients. Mais je pense qu’on ne doit pas négliger le support papier qui a, d’une certaine manière fait ses preuves. Tout comme on doit aussi respecter et s’inspirer parfois des vieilles méthodes de communication de sociétés arabes : papier, destruction du papier, bouche à oreille. Parce que toutes les méthodes électroniques sont piratables par les Etats.

A ce sujet, je vais parler cryptographie : d’après une personne ayant travaillé dans les services secrets français, la DGSE chez thinkerview pour être plus honnête :


IL Y AURAIT UNE BACKDOOR DANS TOUS LES ALGORITHMES DE CHIFFREMENT, autrement ces algorithmes de chiffrement suscitent immédiatement l’opprobre des Etats qui s’empressent de les interdire.
Tout est binaire, sinon cela ne sert à rien et c’est dangereux et immédiatement interdit. Tout est binaire dans les équipements militaires par exemple, mesure et contre mesure, protection et contre protection.

Author: admin

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