Chers visiteurs,
Bienvenu.e.s sur mon site personnel. Mon nom est Nicolas GRUET-POLLAK, préalablement connu sous le nom de Nicolas GRUET (avant mon adoption par mon beau-père – Yves POLLAK). La famille POLLAK vient de Slovaquie et de république tchèque.
Ce site a été créé en 2013 en vue de m’aider à trouver un emploi, de parler de mes centres d’intérêt (finance, information et communication, informatique, l’Union européenne, et la politique), mais également pour la garder la trace de mes réflexions personnelles afin d’une éventuelle future publication, et pour m’aider à renforcer mes compétences en anglais écrit. J’ai également pensé récemment à m’enregistrer et m’écouter parler pour me concentrer sur les compétences orales et pour me présenter.
Avant toute chose, et avant de lire ce qui suit, je vous rappelle que l’anglais n’est pas ma langue maternelle. Donc, pardonnez-moi de petites coquilles grammaticales si vous en rencontrez. Je préfère l’anglais au français parce que le français est très compliqué (le genre, le nombre, la grammaire et la conjugaison sont très compliqués). Je dirais que mon niveau d’anglais est très élevé, courant, de tous les registres (vulgaire, familier, standard), je peux lire des livres complexes en anglais et deux remarques récentes d’amis qui m’ont accompagnés lors de voyages m’ont conforté à cet effet : il paraît que je parle en anglais dans mon sommeil en rêvant, sans accent français fort d’après le dernier témoignage. J’ai toujours parlé en dormant. Mais je ne pense que parler en anglais en dormant soit nécessairement une preuve que votre niveau est élevé. Cela dépend de multiples facteurs.
Bien entendu, je m’attacherai également à écrire en français sur ce site internet. Vous pouvez d’ailleurs trouver la traduction sur cette page. L’anglais est certes une langue plus répandue que le français et donc beaucoup plus internationale, mais le français demeure une langue internationale de second choix avec d’autres langues telles que l’arabe littéraire, l’espagnol, ou le russe. En revanche, l’allemand n’est pas une langue internationale même si, en Europe, c’est une langue qui compte du fait du poids économique de l’Allemagne. C’est aussi une langue de travail au sein des institutions européennes. J’ai commencé à suivre des cours d’Allemand au Goethe institut de Lyon mais j’ai abandonné. Peut-être que j’y reviendrai.
Je dois vous donner quelques informations à mon sujet. C’est également le but de ce site internet. Tout d’abord le nom de domaine www.lemanufactureur.fr est un souvenir de l’ancien magazine culturel et urbain étudiant que j’ai créé et animé pendant 4 ans à Lyon en France. Je voulais devenir journaliste et quelqu’un de l’IEP de Paris m’a conseillé de créer ma publication. Ce que j’ai fait avec succès et le tirage de ma publication imprimée a beaucoup augmenté de 250 exemplaires en 2006 à 10 000 en 2009. J’ai obtenu ma licence en science politique puis une maîtrise alors que je gérais le magazine. Après j’ai effectué un stage à la direction générale des relations extérieures du Parlement européen, dans l’administration européenne. Je suis devenu ensuite militant du parti politique français «PS ou Parti socialiste ». Je suis revenu en France, j’ai rénové l’appartement de ma défunte grand-mère pendant deux ans et maintenant je recherche un emploi.
Grâce au film « Inside Job » de Charles Ferguson, je suis maintenant passionné par la réglementation bancaire et financière et l’histoire et le contexte de la dernière crise financière de 2007-2008.
Profondément intéressé par la politique européenne, l’informatique et les nouvelles technologies, je suis un lecteur de The economist, du Financial time, et du New York Times.et je recherche à retravailler à nouveau au Parlement européen.
Avec la découverte en 2012 du film de Charles Ferguson, j’ai développé un intérêt particulier pour la finance globale et les mécanismes de la dernière crise financière. J’ai assisté à de nombreuses formations sur le site gratuit de Khan Academy (un site gratuit fondé par un ancien gérant de Hedge Fund diplomé en mathématique et en finance et j’ai essayé de lire quelques ouvrages sur le sujet. Parmi ceux-ci, on notera les livres de Martin Wolf et Stigligz. J’ai également lu quelques livres francophones de Patrick Artus, économiste français travaillant dans la banque d’investissement française Natixis. Je connais d’ailleurs quelqu’un qui y travaille, un ancien diplômé de l’EM LYON. J’ai cherché à quantifier l’importance relative des actifs financiers dans le monde entier et la relative importance de la principale société de gestion en charge des actifs : il s’agit de Blackrock, une société assez peu connue. Qui ne contrôle pas moins de 6% des actifs planétaires à travers sa plateforme Aladdin.
Ces 6% sont donc la plus importante part des actifs financiers planétaires contrôlés par une seule et même entité et c’est très peu comparé à la majorité absolue, soit 50%. Mais, pour autant, c’est assez important pour que l’hebdomadaire britannique « the Economist » s’en inquiète. J’ai travaillé sur la dette publique et la dette privée comparées aux PIB des Etats. J’ai beaucoup appris sur les bilans de sociétés privées, banques commerciales, et même banques centrales. Oui, les banques centrales ont un bilan (actif, passif) comme les banques commerciales. Elles l’utilisent pour stimuler l’économie (ou inonder d’argent les intermédiaires financiers) d’une zone monétaire spécifique. Par exemple, l’assouplissement quantitatif est juste de l’argent qui est créé à partir de rien et est directement corrélé au passif du bilan de la banque centrale utilisant cet instrument (dit non-conventionnel). Il s’agissait d’un instrument non-conventionnel il y a encore quelques années. Ce n’est plus le cas maintenant. Cela fut utilisé par la réserve fédérale américaine et la banque centrale européenne pour améliorer les fondamentaux économiques (multiples aux Etats-Unis – taux de chômage, taux de croissance et d’inflation et unique en Europe – taux d’inflation devant tendre vers 2%, ce qu’on appelle un point d’ancrage nominal dans la théorie monétaire actuelle). Avec l’assouplissement quantitatif, les banques centrales achètent des milliards ou des millions d’obligations d’Etat, voire d’obligation privée (dette privée, actions ou autres instruments composés) pour injecter du cash dans l’économie. Mais ces obligations sont stockées dans le passif du bilan de la banque centrale qui les achète. Donc, à la fin, la banque centrale doit les vendre et reprendre les liquidités qui en sont la contrepartie. Dans le passé, seules les politiques budgétaires, fiscales et monétaires étaient utilisées pour influencer l’économie. Je peux parler énormément de finance mais il faudra y mettre fin parce que ce texte est uniquement une présentation. Je dois également mentionner l’effet de levier ainsi que les taux d’intérêt négatifs. Le levier est la base même de la finance. La notion de levier est relativement simple mais bizarre en pratique. Plus vous empruntez pour acheter un bien pour lequel vous allez spéculer en pariant sur l’évolution de son prix (vous l’achetez pour le vendre avec un profit potentiel), plus vous engrangerez de profits… ou de pertes. Les intérêts négatifs sont également amusants et déroutants. C’est l’idée selon laquelle garder de l’argent de côté dans une banque vous coutera de l’argent ainsi que la rémunération des prêts qui serait positive pour les emprunteurs. J’ai beaucoup travaillé sur les bilans : passif, fonds propres et actif et la répartition entre ces trois composants pour déterminer la santé financières d’une société à travers son degré d’usage de levier (donc son niveau d’endettement). J’ai également essayé de comprendre les produits dérivés mais c’est très difficile et cela demande des connaissances poussées en mathématique pour une compréhension en profondeur. Il s’agit globalement d’instruments financiers, de produits financiers diversifiés et très complexes, pouvant comprendre des milliers de prêts de diverses natures dans le cas des fameuses CDOs (Credit Debt Obligations) qui ont provoqué la crise des mortgages (prêt hypothécaires immobiliers aux Etats-Unis) et qui cachent des prêts de plus ou moins bonne qualité. Tout est possible en finance, vous pouvez même gagner de l’argent sur la faillite d’une société, la perte de valeur d’un marché ou la récession d’un pays avec ce qu’on appelle les shorts. Mais cela viendra après. Il y a deux films excellents à regarder sur ce sujet : inside job, un documentaire, et the big short, un film.
J’aime la philosophie et j’aimerais soulever une question intéressante sur la similarité idéologique entre deux approches différentes et opposées du réel dans toutes les sciences (sociales ou exactes). L’épistémologie parle de ce problème également. Lorsque vous essayez de vous livrer à une démarche scientifique en appréhendant la réalité, vous pouvez vous baser sur l’étude des éléments indistinctement du tout (réductionnisme), ou alors vous baser sur les études du tout sans considérer les éléments (holisme). Je pense que les résultats de ces deux démarches opposées (ou complémentaires ?) en terme d’idéologie pour les sciences sociales (économie, science politique, sociologie) ou en terme de logique pour les autres sciences comme la physique (physique de l’infiniment grand ou de l’infiniment petit) sont opposés. Je peux ici parler de champ des sciences sociales que je connais le mieux (par exemple le marxisme ou le keynésianisme opposés au libéralisme impliquent une idéologie politique opposée puisque les premières écoles économiques ont une approche macro économique et que la dernière a une approche micro-économique. Mais cela s’applique aussi à la politique et à la physique.
Une des raisons principales à la genèse de ce site était d’améliorer mes compétences écrites en anglais mais il est vrai que je n’ai pas beaucoup le temps de me relire et que j’écris vite par faute de temps à consacrer à mon site personnel. Une autre raison était également de constituer un souvenir du magazine que j’ai créé et animé pendant 3 ans. Enfin, il s’agissait d’attirer et toucher de potentiels recruteurs. J’ai tendance à candidater avec une référence à mon site internet et je peux pister les connexions avec google analytics pour voir cela fonctionne ou pas.